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Friday, September 15, 2006

Équipe de France de football




L'équipe de France de football est l’équipe de football nationale de la France, constituée par une sélection des meilleurs joueurs français sous l’égide de la FFF.
Actuellement vice-championne du monde, elle compte à son palmarès une coupe du monde (1998), deux championnats d’Europe des nations (1984 et 2000) et deux coupes des Confédérations (2001 et 2003).
Sommaire[masquer]

Les Bleus de 1904 à 2006 [modifier]

La genèse [modifier]
La création de l'équipe de France de football est liée à la fondation de la FIFA en 1904. Désormais, les matches internationaux se disputent sous l’autorité de cette fédération internationale. Ainsi, les matches des sélections françaises disputés entre 1895 (sélection de Paris ; joueurs britanniques résidants à Paris principalement) et 1904 ne sont pas pris en compte. Notons ainsi les cinq matches internationaux disputés par la sélection USFSA face à la Belgique et l’Angleterre amateurs entre 1900 et 1904 avec une victoire française en 1900 contre la Belgique (6-2) et quatre défaites contre l’Angleterre amateurs (1900 : 4-0, 1903 : 8-0, 1904 : 6-1 et 11-4). D’autres fédérations n’ont pas suivi cet exemple, et considèrent leurs matches internationaux datant d’avant 1904 comme d’authentiques matches internationaux.
L’équipe de France de football démarre donc son histoire officielle en 1904 par un honorable match nul en Belgique (3-3). Les trois premiers buteurs français se nommaient Louis Mesnier, Marius Royet et Gaston Cyprès. Les années qui suivirent furent peu glorieuses avec notamment deux cinglants revers contre le Danemark subi à 3 jours d’intervalle (0-9 puis 1-17) lors des Jeux olympiques de Londres. L’équipe de France est alors déchirée par la guerre entre les différentes fédérations qui co-existent dans l’Hexagone, et il est impossible de sélectionner les onze meilleurs joueurs du pays... Notons toutefois quelques belles performances comme la victoire en Italie en 1912 (3-4).
La première victoire face aux Anglais (2-1) en 1921 marque les débuts réels d’une équipe de France sélectionnant désormais les meilleurs joueurs du pays suite à la création de la FFF en 1919. L’USFSA rejoint finalement la FFF en 1921, et les Bleus sont bien désormais l’équipe de France et plus seulement une sélection de joueurs évoluant dans telle ou telle fédération.
En juillet 1930, la France participe à la première Coupe du monde et y fait bonne figure malgré une poule relevée avec l’Argentine (finaliste des JO de 1928) mais ne parvient pas à passer le premier tour. En 1931, c’est l’Allemagne qui s’incline 1-0 face aux Bleus, puis l’Angleterre sombre corps et biens (5-2) le 14 mai face à une équipe de France survoltée. Citons également le match gagné en Hollande (4-5) en 1934.
Après la guerre, les Bleus signent quelques brillants résultats comme cette victoire 0-4 en Tchécoslovaquie ou le match nul 2-2 en 1951 contre l’Angleterre à Highbury. Il s’en fallut de très peu que la France soit la première équipe du continent à battre les Anglais sur leurs terres ; les Hongrois réalisent cet exploit deux ans plus tard.

La génération dorée des années 50 [modifier]
La première génération dorée de l’équipe de France est celle des années 1950 avec Fontaine, Kopa, Piantoni, Vincent, Penverne, Wisnieski, Jonquet... alors l’une des toutes meilleures équipes nationales. Cette équipe de France connaît son apogée avec une troisième place à la Coupe du monde 1958 en Suède où Just Fontaine marque 13 des 23 buts des Français. En demi-finale, la France tombe face au Brésil suite à la blessure du défenseur central Jonquet.
La France connaît par la suite nombre de désillusions au cours des années 1960... Elle se qualifie ainsi pour la Coupe du monde 1966, mais est incapable de passer le premier tour malgré un effectif de premier plan.
Voir l’article Évolution des formations en équipe de France de football.

Le renouveau [modifier]
Sous la houlette de Georges Boulogne, la France du football se remet à niveau et l’équipe de France profite également de cette politique centrée sur la formation. Stefan Kovacs poursuit sur cette voie en donnant leur chance à de très nombreux jeunes joueurs. Les résultats ne sont pas vraiment encore au rendez-vous, mais la mentalité, le physique et l’approche tactique des joueurs français changent.
Le réveil de l’équipe de France sonne en 1977 avec la qualification pour le Mundial argentin. En Argentine, les Français payent leur manque d’expérience du plus haut niveau par une élimination dès le premier tour. Tombés dans un groupe particulièrement relevé, les Français font pourtant bonne figure en ne concédant que de courtes défaites face à deux des favoris de la compétition que sont l’Italie (1-2 malgré l’ouverture du score par Bernard Lacombe dès la première minute de jeu) et l’Argentine (1-2 dont un penalty très litigieux sifflé à l’encontre de Marius Trésor). Pour l’honneur, les Français viennent facilement à bout de la Hongrie (3-1) dans leur dernier match. Ce jour-là, à Mar del Plata, les Bleus arborent de curieux maillots rayés blanc et vert, conséquence d’un problème d’intendance... Les Français durent se rabattre en urgence sur les tenues d’un club local!

Les trois glorieuses [modifier]
En s’appuyant sur une génération exceptionnelle, les Bleus signent 3 épopées fabuleuses entre 1982 et 1986, avec une quatrième place à la Coupe du monde 1982, une victoire à l’Euro 1984 et une troisième place à la Coupe du monde 1986 sous l’impulsion de leur « carré magique ».

Mondial 1982: Une quatrième place inattendue [modifier]
Les Français débarquent pourtant au Mundial espagnol de 1982 en plein doute, conséquence d’une série de matchs amicaux peu probante. La compétition ne peut d’ailleurs pas plus mal commencer, avec une cuisante défaite face à l’Angleterre (1-3, dont un but de Bryan Robson dès l’engagement). La France redresse la tête grâce à une facile victoire contre le Koweït, dans un match marqué par l’irruption sur la pelouse du cheikh Farid Al Ahmad al Sabah qui exigera et parviendra à obtenir de l’arbitre qu’il annule un but d’Alain Giresse provoquant au passage la colère du sélectionneur Michel Hidalgo, puis arrache sa qualification pour le deuxième tour en faisant match nul contre la Tchécoslovaquie. Au deuxième tour, les Français se défont sans grande difficulté de l’Autriche (1-0) puis de l’Irlande du Nord (4-1) et accèdent aux demi-finales. C’est à l’occasion du match contre l’Irlande du Nord que Michel Hidalgo associe pour la première fois quatre joueurs à vocation offensive (Tigana, Genghini, Giresse et Platini) au milieu de terrain. Le « carré magique » est né. Disputée à Séville, la demi-finale des Français contre la RFA est rentrée dans la légende du foot. Qualité du jeu pratiqué, intensité, émotion, tout a contribué à rendre ce match légendaire. Alors que les deux équipes se sont quittées sur le score de 1 but partout à l’issue du temps réglementaire, les Français, survoltés par l’agression commise par le gardien allemand Harald Schumacher sur Patrick Battiston, inscrivent deux buts coup sur coup à l’entame des prolongations par l’intermédiaire de Marius Trésor et Alain Giresse. Continuant à jouer l’offensive et un football spectaculaire, les Français se font rejoindre au score en l’espace de quelques minutes et se laissent entraîner par la RFA dans une séance de tirs au but dont ils sortiront perdants. En l’absence des principaux titulaires, la France perdra également le match pour la troisième place contre la Pologne (2-3).

Euro 1984: Premier sacre européen [modifier]
Deux ans plus tard, la France aborde avec le statut de favorite le Championnat d’Europe de football 1984 qu’elle dispute à domicile. Avec une génération arrivée au sommet de son art, et le renfort de l’accrocheur Luis Fernandez au sein du « carré magique », la France va répondre aux attentes. Après une entame délicate contre le Danemark et un but chanceux de Platini (1-0), la France écrase la Belgique (5-0) puis vient à bout de la Yougoslavie (3-2). En demi-finale, la France affronte le Portugal à Marseille. Menée d’un but à cinq minutes de la fin des prolongations, les Bleus égalisent avant de prendre l’avantage dans les derniers instants du match sur une frappe de Platini, consécutive à un rush héroïque de Jean Tigana. En finale contre l’Espagne, un coup franc de Platini qui surprend le malheureux portier espagnol Luis Arconada débloque un match jusque là verrouillé. Grâce à l’estocade portée en fin de match par Bruno Bellone, l’équipe de France de football remporte le premier titre majeur de son histoire.

Mondial 1986: L’exploit sur le podium [modifier]
Pour la Coupe du monde 1986, la France fait à nouveau figure de favorite. Mais amoindris par les blessures récurrentes de leurs deux meneurs de jeu Platini et Giresse, les Bleus (désormais emmenés par Henri Michel) peinent à retrouver l’état de grâce de 1984. La France se sort sans grande difficulté mais sans panache d’un premier tour largement à sa portée (victoire 1-0 contre le Canada, nul 1-1 contre l’URSS et victoire 3-0 contre la Hongrie) avant d’affronter l’Italie en huitième de finale. Au terme d’un match remarquablement maîtrisé (victoire 2-0), la France sort victorieuse de ce duel au sommet entre les champions du monde en titre et les champions d’Europe en titre. En quart de finale, la France retrouve sur sa route le Brésil. Pour beaucoup, c’est un match entre les deux équipes qui pratiquent le plus beau football de la planète. À cette époque, les Français sont d’ailleurs souvent surnommés les Brésiliens de l’Europe en hommage à leur jeu spectaculaire et systématiquement tourné vers l’offensive. Le match tiendra toutes ses promesses, à tel point que Pelé le qualifiera de match du siècle. Dominateurs, les Brésiliens ouvrent rapidement la marque par Careca, avant que Platini ne ramène les deux équipes à égalité. La prolongation spectaculaire au cours de laquelle les deux équipes se procureront chacune de franches occasions ne fera pas bouger le score, et les Bleus se qualifient à l’issue de l’épreuve des tirs au but et de la tentative réussie de Luis Fernandez. En demi-finale, la France retrouve la RFA pour la revanche de Séville quatre ans plus tôt. Mais de revanche, il n’y aura pas. Comme si elle avait tout donné contre le Brésil, la France, en panne d’imagination, bute sur la rigueur et le réalisme des Allemands, qui s’imposent sans grande difficulté (2-0). Les Français se consoleront avec la troisième place acquise aux dépens de la Belgique dans la petite finale (4-2), leur meilleur résultat depuis la Coupe du Monde 1958.
Voir l’article Évolution des formations en équipe de France de football.

Les désillusions successives [modifier]
L’épopée de la Coupe du Monde mexicaine marque la fin d’une génération d’exception. Dans les mois qui suivent, de nombreux joueurs clés tels que Platini, Tigana, Giresse ou Rocheteau annoncent leur retraite internationale ou leur retraite tout court.
La transition est trop brusque, et la nouvelle génération échoue successivement à se qualifier pour l’Euro 88 et le Mondial italien de 1990. L’arrivée de Michel Platini à la tête de la sélection en novembre 1988, si elle n’empêche pas l’absence au Mondial italien, suscite pourtant de nombreux espoirs. La copie parfaite rendue par l’Équipe de France dans les éliminatoires de l’Euro 92 (8 victoires en 8 rencontres) laisse augurer un retour aux succès des années 80 à défaut d’un retour au beau jeu. En effet, voyant sa marge de manœuvre limitée par la faiblesse des individualités dont il dispose, Platini a construit une équipe à vocation très défensive, sans véritable milieu créateur, et qui compte sur les deux grands joueurs français de l’époque (Éric Cantona et Jean-Pierre Papin) pour faire la différence en attaque. Mais lors de l’Euro 1992 en Suède, la France est incapable de confirmer son parcours des éliminatoires et tombe sans gloire dès le premier tour, après deux matchs nuls (contre la Suède et l’Angleterre) et une défaite (contre le Danemark, futur vainqueur du tournoi).
Dans les mois qui suivent, l’équipe de France, forte d’un effectif à la qualité en hausse, semble retrouver des couleurs. Mais lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1994, les Bleus, minés par des querelles d’ego et par la mauvaise rivalité entre Marseillais et Parisiens, s’effondrent dans la dernière ligne droite et concèdent coup sur coup deux cuisantes défaites à domicile à l’automne 1993 (2-3 contre Israël, puis 1-2 contre la Bulgarie) et manquent une qualification qui leur semblait promise (il leur suffisait d’un match nul lors de ces deux matchs).
L’inauguration du centre d’entraînement de Clairefontaine et la montée en puissance de la formation à la française mise en place dès les années 1970 sous l’impulsion de Georges Boulogne permettent toutefois au football français d’espérer des jours meilleurs.

L’Apothéose [modifier]

1996 : Un Euro synonyme de reconquête [modifier]
Au lendemain de la débâcle de 1992, le nouveau sélectionneur national Aimé Jacquet doit tout reconstruire. S’il peut s’appuyer sur un secteur défensif de qualité, il va tâtonner durant près de deux années pour trouver une bonne animation offensive. Les éliminatoires pour l’Euro 1996 sont laborieux et laissent craindre une nouvelle déconvenue. Mais à l’automne 1995, une spectaculaire et décisive victoire à l’extérieur contre la redoutable équipe de Roumanie semble marquer l’acte de naissance d’un nouveau groupe dont le jeune Zinedine Zidane s’affirme comme le maître à jouer. Qualifiée pour l’Euro 1996, l’équipe de France y atteint les demi-finales en confirmant la solidité à toute épreuve de son bloc défensif (quatre défenseurs et trois milieux récupérateurs) mais déçoit quelque peu par le manque d’inspiration de son secteur offensif et de ses deux créateurs (Zinedine Zidane et Youri Djorkaeff), pourtant très attendus.
Mais Jacquet sait disposer là d’une base de travail solide en prévision de la Coupe du monde de football 1998, pour laquelle les Bleus pourront se préparer en toute quiétude, sans avoir à passer par les éliminatoires. Base d’autant plus solide qu’à partir de l’été 1996, grâce à l’arrêt Bosman, la plupart des joueurs de l’équipe de France partent jouer à l’étranger où ils acquièrent une stature internationale et une précieuse expérience du haut niveau.
Voir l’article Évolution des formations en équipe de France de football.

1998-2000 : La consécration : Champion du Monde puis d’Europe [modifier]
Si la série de matchs préparatoires à la Coupe du Monde soulève une certaine inquiétude auprès de plusieurs observateurs, les Bleus sont bel et bien présents au rendez-vous. Ils se sortent avec facilité du premier tour: victoires contre l’Afrique du Sud (3-0), l’Arabie saoudite (4-0) et le Danemark (2-1) mais, privés de Zidane suspendu, butent en huitièmes contre le mur défensif du Paraguay et de son fantasque gardien de but José Luis Chilavert. La qualification arrachée en prolongation (but en or de Laurent Blanc) permet aux Bleus de retrouver l’Italie en quart. Au terme de 120 minutes de très haute qualité, les deux équipes jouent leur qualification aux tirs au but et c’est la France qui s’impose. En demi-finale, la France semble proche de tomber face aux surprenants Croates, mais deux buts de son latéral Lilian Thuram la qualifient pour la première finale de son histoire, face au Brésil. Le Brésil a impressionné depuis le début de la compétition par la puissance et l’adresse des ses attaquants, mais a également laissé entrevoir de grosses carences défensives. Dominateurs et réalistes, les Français tuent le match en première période grâce à deux buts de la tête de Zidane. Réduits à dix en seconde période suite à l’expulsion de Desailly, la France subit mais inscrit en contre un troisième but libérateur par Emmanuel Petit dans les derniers instants du match. Didier Deschamps devient le 12 juillet 1998 le premier joueur français à soulever la Coupe du monde.
La France confirme son statut de meilleur équipe du monde deux ans plus tard, à l’occasion de l’Euro 2000. Grâce à l’éclosion d’attaquants tels que Thierry Henry, David Trézéguet, Nicolas Anelka, Robert Pirès ou encore Sylvain Wiltord, elle s’offre même le luxe de pratiquer un football plus offensif qu’en 1998. Sur le banc, Jacquet a cédé sa place à son adjoint de 1998, Roger Lemerre. Après un premier tour parfaitement maîtrisé (victoire contre le Danemark et la République tchèque, défaite sans conséquence face aux Pays-Bas), la France va connaître trois rencontres à haut suspense dont elle sortira à chaque fois victorieuse. Tout d’abord en quart de finale contre l’Espagne (victoire 2-1, avec un penalty espagnol raté par Raúl dans les arrêts de jeu). Puis en demi-finale contre le Portugal (victoire 2-1 avec un penalty victorieux de Zidane dans les arrêts de jeu de la prolongation). Et enfin en finale contre l’Italie. Menée 0-1 dans les arrêts de jeu, la France semble se résoudre à la défaite. Mais Wiltord égalise dans les derniers instants du match pour arracher les prolongations. Prolongations durant lesquelles Trézéguet inscrit d’une somptueuse reprise de volée le but en or synonyme de victoire.
Voir l’article Évolution des formations en équipe de France de football.

2002-2005 : Déception [modifier]
Championne d’Europe et du Monde en titre, la France aborde la Coupe du monde 2002 en Asie avec confiance, malgré les départs à la retraite de ses deux anciens que sont le capitaine Didier Deschamps et le libéro Laurent Blanc. Dès le match d’ouverture, les Bleus se font surprendre par le Sénégal (0-1) avant de concéder un match nul contre d’accrocheurs Uruguayens (0-0). Contrainte de tout miser sur son dernier match contre le Danemark, la France attend beaucoup du retour de Zidane, blessé depuis le début du tournoi. Mais une défaite sans appel (0-2) met fin à l’aventure asiatique. La France est humiliée, éliminée de la coupe sans avoir marqué le moindre but.
Qualifiés facilement pour l’Euro 2004 disputé au Portugal, et rassurés par d’impressionnantes prestations lors de matchs amicaux (notamment une victoire 3-0 en Allemagne contre la Mannschaft) les Bleus paraissent avoir retrouvé leur superbe. Le premier match du tournoi contre l’Angleterre, et la victoire inespérée de la France (2-1, grâce à deux buts de Zidane en toute fin de match) semble même replonger les Bleus dans l’euphorie de 1998 et 2000, quand tout leur réussissait. Mais un nul heureux (but égalisateur de David Trezeguet entaché d’une faute de main) contre la Croatie et une victoire peu convaincante face à la Suisse inquiètent. Inquiétude qui trouve sa justification en quart de finale, où la France est éliminée sans gloire par la Grèce (futur vainqueur du tournoi), au terme d’une prestation très moyenne.
Ces éliminations prématurées remettent les pieds sur terre à un football français qui se considérait alors comme intouchable. Raymond Domenech devient le nouveau sélectionneur national. De profonds changements sont apportés, tant du point de vue de l’équipe technique entourant les Bleus que sur celui du terrain. L’équipe a du mal à trouver un jeu efficace et cohérent, en raison du départ en retraite ou volontaire de la plupart des joueurs clés de l’équipe, dont Zidane, Lizarazu, Thuram et Makélélé. Parallèlement, de jeunes joueurs (Abidal, Govou, Malouda) encore peu expérimentés au niveau international intègrent la sélection nationale. Vikash Dhorasoo, pressenti pour prendre la relève de Zidane au poste de meneur de jeu, s’impose sur le plan technique mais révèle des carences sur le plan physique. Robert Pirès et Johan Micoud subissent parallèlement une mise à l’écart par le sélectionneur. La transition est difficile mais il faut remarquer que l’Équipe de France a participé à tous les rendez-vous Mondiaux et Européens disputés depuis 1996.
Voir l’article Évolution des formations en équipe de France de football.

2006, La campagne d’Allemagne : le retour au sommet [modifier]
Le 3 août 2005, Zidane annonce qu’il revient sur sa retraite internationale, suivi de Thuram et Makélélé, et l’Équipe de France se qualifie de justesse face à Chypre pour la Coupe du monde 2006. Le 1er mars 2006, à peine plus de 3 mois avant l’ouverture de la compétition, une défaite (la première sous l’ère Domenech) dans un match amical face à la Slovaquie, appele à de nouveaux changements dans la composition de l’équipe.
Quelques jours avant le début de la Coupe du Monde 2006, Raymond Domenech semble avoir choisi son gardien (Barthez), sa défense (Sagnol, Thuram, Gallas, Abidal) et son milieu de terrain (Makélélé, Zidane, Vieira, Malouda). Les seuls incertitudes concernent la paire d’attaquants (Henry et Trézéguet tiennent la corde mais Wiltord, Saha, Cissé et Ribéry sont également bien placés). Les trois victoires dans les matchs de préparation (face au Mexique, au Danemark et à la Chine) permettent à l’Équipe de France d’aborder la compétition avec une certaine confiance mais sans Cissé, malheureusement victime d’une double fracture à la jambe droite, et remplacé par Sidney Govou le jour du départ en Allemagne.
L’équipe de France débute fort mal son tournoi en concédant deux matches nuls (Suisse 0-0, Corée du Sud 1-1) contre des adversaires à sa portée. Une victoire 2-0 contre le Togo lui permet toutefois d’obtenir, de justesse, Sa qualification. Elle se qualifie ensuite pour les huitièmes de finale où elle affronte l’Espagne, le mardi 27 juin. La France parvient à obtenir son ticket pour les quarts de finale sur le score de 3-1 après des buts de Zidane, Ribéry et Vieira. L’Espagne avait ouvert le score sur un penalty transformé par Villa. Le 1er juillet à 21h, la France a réussi à vaincre le Brésil en quarts de finale sur le score de 1-0 (but de Henry) à la 57e minute sur coup franc décisif de Zinédine Zidane. C’est la première fois en Coupe du monde que Zidane fait une passe décisive à Henry - dans un match qui restera certainement comme le plus accompli techniquement et tactiquement de cette Équipe de France-là. Victorieuse 1-0 (pénalty de Zidane à la 33e minute) du Portugal en demi-finale le 5 juillet, la France joue sa deuxième finale de Coupe du monde, contre les Italiens à Berlin le 9 juillet. Après un match qu’elle domine nettement après la mi-temps, et qui se solde par un score de parité 1-1 (but de Zidane à la 7e minute sur pénalty, et but de Materazzi à la 19e minute), des prolongations sont jouées. Pendant celles-ci Zidane est exclu pour un coup de tête dans la poitrine d’un joueur italien. La séance de tirs au but laisse peu de chances aux Français : les joueurs italiens marquent leurs cinq tirs aux buts, contre trois pour l’Équipe de France (Trezeguet manque le sien). Au terme d’un parcours exceptionnel, la France manque donc une occasion d’ajouter une deuxième étoile à son maillot.

Et Après? [modifier]

Vers l’Euro 2008 [modifier]
Voir l’article Évolution des formations en équipe de France de football.
Fort de son expérience et des succès de l’Équipe de France, Raymond Domenech est reconduit dans ses fonctions de sélectionneur national pour quatre années supplémentaires jusqu’à la Coupe du monde 2010. Thuram et Makélélé décident de rester malgré leur 35 et 33 ans respectifs. La prochaine échéance pour les Bleus, les éliminatoires de l’Euro 2008, commença sous de bons auspices pour les Bleus grâce à deux victoires contre la Géorgie (3-0) et contre l’Italie (3-1). Lors des journées suivantes, l’Équipe de France s’inclina contre l’Écosse (0-1) avant de se rassurer face aux Îles Féroé (5-0) et à la Grèce (1-0) en match amical pour le dernière rencontre de l’année 2006.
Aujourd’hui, on peut dire que la France est en période de reconstruction, à l’instar de la période post-Coupe du Monde 2002. Elle compte sur une nouvelle génération de joueurs talentueux comme Franck Ribery , Jérémy Toulalan, Sébastien Frey, Gonzalo Higuain (le cas fait débat, car il refuse encore la séléction francaise), Julien Escudé, Rio Antonio Mavuba, Yoann Gourcuff, Karim Benzema, Julien Faubert, Mathieu Bodmer,...

Lieux d’entraînements et matchs à domicile [modifier]

Tribune des supporters de l’Équipe de France au SDF
Article détaillé : Centre technique national Fernand-Sastre.
Lors des phases de préparation l’équipe de France s’entraîne au Centre technique national Fernand-Sastre situé à Clairefontaine-en-Yvelines. Ce centre de formation national fut initié en 1976 lorsque Fernand Sastre était président de la Fédération française de football. Le domaine de Montjoye fut acheté en 1982 et le centre ouvrit ses portes en 1988. Le centre sera le camp de base des bleus durant la coupe du monde de football 1998 disputée en France.
Le centre emploi 60 personnes de manière permanente. La superficie totale est de 56 hectares dont 66 000 m² de terrains engazonnés. 302 lits sont disponibles.
Depuis la création du Stade de France, un contrat lie la fédération et l’entreprise exploitante du stade. Chaque match officiel de l’équipe de France à domicile doit se dérouler en son enceinte. Cependant les matchs amicaux peuvent se dérouler à l’extérieur.

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